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Souscription nationale pour la préparation des élections Européennes de 2009.
29/09/2008 12:41
Nicolas Dupont-Aignan, Président du mouvement « Debout
la République
» et opposant résolu à
la Constitution Européenne
et au Traité de Lisbonne, a lancé une souscription nationale afin de financer des listes aux prochaines élections européennes pour « une autre Europe ».
La volonté première de DLR est de rassembler toutes celles et tous ceux qui ont voté « Non » à
la Constitution
européenne, les unir autour d’un projet de construction d’une Europe autre que le modèle actuel proposé par l’Union Européenne. Il ne s’agit pas d’être contre l’Europe, mais d’élaborer une Europe plus juste, plus solidaire et plus démocratique.
Cette souscription permettra la constitution de listes républicaines qui auront en charge de défendre les intérêts des Citoyens au parlement européen. Ces listes se conformeront à une « Charte » qui reflètera cette vision d’une autre Europe plus en phase avec le Citoyen, avec pour principal corollaire, la fin de l’élargissement indéfini car l’Europe n’a pas vocation naturelle à s’étendre en Asie, en Afrique voir même en Amérique pourquoi pas, vu le rythme d’intégration que tentent de nous imposer les Euro-technocrates. Cette charte proposera la création d’une Europe Confédérale garante du droit qu’ont chaque peuple à se déterminer, laissant une large autonomie à chaque état membre, ce qu’actuellement l’Europe fédérale interdit.
Cette charte a été proposée lors des universités de rentrée de DLR qui se sont déroulées à Dourdan les 6 et 7 septembre 2008. Elle sera fédératrice et s'adressera aux Républicains de gauche et de droite qui ont rejeté
la Constitution Européenne
en 2005, qui n’admettent pas le coup de force opéré par Sarkozy et son traité de Lisbonne et qui ne se reconnaissent ni dans Le Pen, ni dans Besancenot ou ni dans De Villiers.
Vous pouvez dès aujourd’hui participer à cette souscription en envoyant votre participation* à :
Debout
La République
BP 18
91330 YERRES
Par votre écot vous ferez triompher vos idées républicaines pour une autre Europe
(Vos dons seront déductibles sur votre déclaration fiscale)
* CB à l’ordre de AFDLR
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50ème anniversaire de l'adoption de la 5ème République
28/09/2008 10:29
Ce jour marque le 50ème anniversaire de l'adoption par référendum de la 5ème république avec 79,2 % de oui. Cette République, fruit de la volonté du Général De Gaulle, est née d'un référendum populaire, et De Gaulle, durant tous ses mandats, n'hésita jamais à recourir aux référendums. Consulter les citoyens étaient, à ses yeux, une condition obligatoire de la Démocratie. D'ailleurs, fidèle à cet engagement, il n'hésita pas à partir lorsque le référendum de 1968 lui fut défavorable suite aux basses manoeuvres de parlementaires, pour qui l'expression du peuple ne devait se faire que par eux. Dés lors, le référendum ne fut guère usité, sauf si l'on était certain que l'aval populaire irait dans le sens des élites. Puis arriva le référendum de 2005, où les Français s'exprimèrent à l'encontre du choix de leurs parlementaires. L'esprit de la 5ème commandait alors à ceux-ci de valider l'expression populaire ! Hélas, il en fut autrement ! Mr Sarkozy nous fit un copier-coller du texte précédent rejeté par voie référendaire, et le fit voter par voie parlementaire. Elus de droites comme de gauche votèrent pour ce texte et trahirent de fait le peuple de France et la 5ème République. Françaises, Français, souvenez- vous en et avec nous, luttez dans l'avenir pour le respect de notre chére République !
PW
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Si le berger laisse entrer le loup dans la bergerie, c'est au berger qu'il faut demander des comptes
26/09/2008 12:20
Le Président de la République à la tribune de l’ONU a fustigé ceux qui, après s’en être mis plein les poches, refusent de payer la note. La remarque est juste. Mais cela peut-il suffire ?
Il faut surtout s’interroger sur la dérégulation généralisée qui a permis la multiplication des « déviances » bancaires et financières. Et là, je n’ai pas souvenir d’avoir entendu Nicolas Sarkozy, sauf durant la campagne présidentielle, fustiger la logique folle du toujours moins d’Etat, qui explique aujourd’hui pourquoi l’incendie se propage dans le monde entier à une telle vitesse et avec de tels dégâts !
Bien évidemment, la France ne peut pas tout, toute seule. Pour autant, qu’attend-t-on par exemple pour mettre à contribution les stocks options pour financer le RSA ? Cela suffirait à remplacer la taxe de 1,1% sur les épargnants français, dont l’immense majorité appartient aux classes moyennes et populaires !
De même, pourquoi avoir laissé les Caisses d’Epargne partir dans cette fuite en avant financière ? Les déboires de Natixis, dont l’aveuglement des prévisionnistes n’a d’égal que l’incroyable crédit que continue de leur prêter les médias spécialisés pour commenter la crise, sont à cet égard très choquants.
Pourquoi ne pas proposer des agences de notation publiques ? Pourquoi cette pusillanimité face à la Commission de Bruxelles à propos du nécessaire encadrement de l’activité des fonds spéculatifs, voulu aussi bien par Paris que par Berlin ?
Les propositions ne manquent pas pour moraliser et assagir les marchés. La Présidence française de l’Union aurait pu s’enorgueillir de proposer très vite à ses partenaires des premières décisions.
Mais plus important encore, il est urgent pour les Européens d’éteindre l’incendie avant qu’il n’entraîne une récession terrible en zone euro. Le paradoxe serait que les Américains, principaux responsables de la crise, l’exportent tout en la maîtrisant chez eux.
Sur ce terrain aussi, le silence de la France est assourdissant. Comment accepter le comportement de la Banque Centrale européenne qui, en maintenant des taux d’intérêt si élevés, étouffe davantage encore une reprise déjà malmenée par la conjoncture ? L’octroi massif de liquidités n’a pour le moment servi qu’à sauver la mise à des établissements financiers pourtant grands responsables de la crise, pas un centime n’a été déboursé pour soutenir l’économie réelle, l’emploi ou le pouvoir d’achat des Européens !
En France, en Allemagne, le taux d’épargne des ménages est important. Il faut s’appuyer sur cela pour restaurer au plus vite la confiance et éviter la récession. Tous les économistes le reconnaissent aujourd’hui. Il serait ainsi possible à l’échelle européenne de lancer un grand emprunt, style Pinay, qui permettrait de financer un programme de grands travaux, comme des projets industriels et environnementaux. Mieux, la Banque Européenne d’Investissement, garantie par les Etats membres de l’UE, pourrait s’endetter pour financer un tel plan Marshall. Ce serait au passage le meilleur moyen de revaloriser aux yeux des citoyens une construction européenne dont les dirigeants ne cessent de déplorer le discrédit, tout en s’interdisant d’en corriger les graves dérives.
Enfin, le fiasco du bonus-malus, qui a vu le président de la République faire machine arrière toute sur ses promesses écologiques, pose un double problème : de méthode d’abord, il aurait fallu poursuivre le Grenelle par des Etats généraux de la fiscalité écologique, transparents et ouverts à tous. Mais un problème de cap, aussi : Nicolas Sarkozy doit s’expliquer sur le sort qu’il compte désormais réserver à sa politique écologique ambitieuse, dont la France s’est prétendue la championne depuis un an et qui devait être exemplaire pour nos voisins, à l’heure de la présidence française de l’Union.
Mais il est sans doute plus facile de rechercher des boucs émissaires - surtout qu’on ne les trouvera jamais, puisque les responsabilités sont à tous les étages de ce système capitaliste fou - que d’exercer et assumer un pouvoir politique qui, seul, peut et doit changer la donne !
Car, comme le faisait remarquer malicieusement un banquier le 23 septembre 2008, après l’effondrement des marchés financiers et les déclarations de Nicolas Sarkozy demandant de sanctionner les responsables, « les responsables ne sont pas les marchés, dont la mission n'a jamais été le bien public, mais les États chargés d'édicter les règles du jeu ! » Et de les faire respecter, serait-on tenté d’ajouter…
Les vrais fautifs, ce sont les politiques qui ont accompagné, voire voulu, ce recul de la puissance publique qui, aujourd’hui, donne tant de pouvoir aux multinationales cotées en bourse. Ce sont eux les responsables du dépècement de la société par les entreprises privées. On ne peut pas accuser le loup d’entrer dans la bergerie pour dévorer les moutons, il est programmé pour cela. C’est bien sûr au berger qu’il faut demander des comptes, surtout si ce dernier a, en sifflotant, laissé toute grande ouverte la porte de la bergerie.
Nicolas Dupont Aignan, le 25/09/2008
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Pour un référendum sur l'avenir de la Poste
24/09/2008 12:23
Le 23 septembre 2008
COMMUNIQUE DE PRESSE
Ne vendez pas La Poste aux enchères !
La logique de démantèlement du service public français, voulu et imposé par Bruxelles avec hélas l’aval des gouvernements successifs de gauche comme de droite, dépasse toutes les bornes avec le projet de privatisation rampante de La Poste.
Chacun sait, chacun constate au quotidien, que le service public postal joue dans notre pays un rôle de premier plan dans l’aménagement du territoire de proximité, la continuité sociale et l’égalité des usagers devant un service important.
Les spécificités de La Poste en France, du fait :
de l’histoire,
du maillage territorial très dense du réseau postal
et du symbole très fort qu’il représente pour la relation entre les citoyens et l’Etat-nation, rendent définitivement insolubles ses missions de service public dans une mise en concurrence dogmatique, presque partout synonyme de dégradation de la qualité des prestations, du renchérissement des tarifs et de désengagement territorial. Sait-on par exemple, que le pays le plus libéral au monde, les Etats-Unis, ont maintenu un service postal intégralement public ?
C’est pourquoi Debout la République décide aujourd’hui de s’engager pour la pérennité de l’entreprise postale à 100% publique et de signer l’appel à la mobilisation pour l’organisation d’un référendum sur son avenir. DLR appelle tous ses adhérents, sympathisants et amis, à signer et faire signer cette pétition qui, si elle atteint les seuils requis, ouvrira la voie à un référendum d’initiative populaire sur la question.
Bien évidemment, le maintien du statut public n’interdit pas, comme cela est d’ailleurs déjà le cas depuis des années, à la Poste de se moderniser. Il faudra poursuivre cette politique tout en adossant l’entreprise à la Caisse des Dépôts et Consignations pour trouver des financements aujourd’hui incertains.
Nicolas DUPONT-AIGNAN Député gaulliste non-inscrit de l’Essonne Président de Debout la République
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